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Crédit immobilier : les menaces qui pèsent sur le marché immobilier de 2021

Crédit immobilier : les menaces qui pèsent sur le marché immobilier de 2021
Crédit immobilier : les menaces qui pèsent sur le marché immobilier de 2021

En 2020, la résilience du marché immobilier face à la crise sanitaire a été largement soulignée et la pierre a été plus que jamais confortée comme valeur refuge. Mais qu’en sera-t-il avec une situation pandémique qui se prolonge en 2021 et une conjoncture économique aussi incertaine ? Plusieurs facteurs pourraient fissurer la solidité de la pierre… à l’exception du crédit immobilier

1. Des prix élevés qui saturent la capacité d’endettement

La Covid-19 n’a pas eu raison de la montée des prix de l’immobilier. Pire : ils ont accéléré leur progression en 2020 (+2,1% dans l’ancien selon MeilleursAgents). Cette poussée continue des tarifs se ressent sur le crédit immobilier ; elle s’est en effet traduite par une hausse croissante de la durée d’emprunt, passée de 18 ans et demi à 19 ans et demi depuis 2019. Et ce principalement en raison de l’augmentation du montant moyen emprunté par les acquéreurs. La preuve : la baisse du nombre de prêts immobiliers accordés en 2020 (-18%) est plus forte que le recul du montant total (-15,7%). Le risque avec des logements de plus en plus coûteux et des établissements prêteurs de plus en plus regardants, c’est d’assister à une nouvelle baisse du nombre des ménages en capacité d’accéder à la propriété. 

2. Une solvabilité en difficulté

La hausse des prix ne serait pas un problème si le pouvoir d’achat des ménages progressait dans les mêmes proportions… mais ce n’est pas le cas avec la crise sanitaire. Cet indicateur a fait du surplace en 2020 et il devrait en faire de même en 2021 selon la Banque de France, qui ne prévoit pas mieux que +0,3%. La hausse du chômage et l’activité économique au ralenti ne favorisent pas l’augmentation des salaires et le versement de primes. Conséquence : les acheteurs ne pourront pas augmenter leur capacité d’endettement au moment de solliciter un crédit immobilier. L’assouplissement du HCSF sur le taux d’effort toléré (35% au lieu de 33%) est néanmoins un signal positif qui atténue ce tableau. 

3. L’attentisme qui ralentit le marché

Dans ses perspectives pour 2021 et 2022, la BPCE estime que « la dégradation du contexte économique » va conduire à un attentisme accru de la part des acquéreurs, avec deux conséquences : une diminution des transactions (sous les 900 000) et un repli des prix de 1 à 2% en moyenne. Pour le neuf aussi, la conjoncture n’est pas encourageante pour les promoteurs et les constructeurs de maisons individuelles. Néanmoins, la BPCE n’entrevoit pas d’effondrement grâce notamment au « niveau exceptionnellement bas » des taux d’intérêt du crédit immobilier, qui devrait encore bénéficier d’une politique clémente de la part de la Banque centrale européenne. L’occasion donc pour les porteurs de projets de solliciter l’aide d’un courtier en prêt immobilier pour définir un plan de financement solide. Le professionnel analyse le dossier d’emprunteur conseille sur la manière de l’optimiser, négocie les meilleures conditions de crédit auprès des établissements bancaires et accompagne l’emprunteur jusqu’au déblocage des fonds lorsque celui-ci trouve une offre sur mesure qui lui correspond.

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