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Crédit immo : les prix de l’immobilier se tassent dans les grandes villes

Crédit immo : les prix de l’immobilier se tassent dans les grandes villes
Crédit immo : les prix de l’immobilier se tassent dans les grandes villes

Après la paralysie du marché immobilier au printemps dernier, puis à un court rebond durant l’été, la frénésie des prix de l’immobilier a laissé place à une grande stabilité depuis quelques mois. L’indice MeilleursAgents - Les Echos confirme cette tendance qui laisse même poindre un recul dans les grandes métropoles, la croissance affichée au 1er mars (+0,1%) étant à mettre au crédit des zones rurales (+0,3%). 

Un an après, la Covid-19 a bien changé la donne

En un an, le marché de l’immobilier a connu de sacrés remous avec la crise sanitaire et son impact à la fois sur l’activité et sur la solvabilité des acquéreurs. Ses belles certitudes des dernières années (taux bas du crédit immobilier, forte demande) ont été ébranlées et le volume de transactions a reculé de près de 10% en 2020. Ce climat d’incertitude, alors que la Covid-19 n’en a visiblement pas fini de scléroser l’économie et la confiance des ménages, se traduit logiquement par un certain attentisme du côté des vendeurs comme des acheteurs. Une situation qui n’est généralement pas très porteuse pour la courbe des prix de l’immobilier, et le dernier indice MeilleursAgents - Les Echos du 1er mars ne dit pas le contraire : +0,1% seulement sur un mois – pareil qu’au 1er février. Si l’on resserre le spectre sur Paris et les 50 plus grandes villes de France, la courbe est même baissière. 

Rennes et Nantes, les exceptions

Les prix de l’immobilier à Paris restent élevés. La moyenne se situe au-delà de 10 300€/m² comme le rappelle l’indice MeilleursAgents - Les Echos du 1er mars, mais il est en recul de 0,8% depuis le 1er janvier et même de 1,8% sur un an ! Aucune autre grande métropole n’accuse un si lourd recul sur la période. Néanmoins, des diminutions sont aussi observées à Lyon (-0,6% sur un mois) et Toulouse (-0,5%), ou encore à Strasbourg Montpellier et Marseille (-0,4%) ainsi qu’à Nice (-0,2%). À l’instar de la faible circulation du Covid-19 à l’Ouest, Nantes et Rennes font mieux que résister : les deux capitales régionales distantes de 100 km demeurent en progression et dépassent même +5% sur un an. Autre secteur en progression, la petite couronne autour de Paris (près de +4% dans l’Essonne et le Val-d’Oise). 

Emprunter et acheter maintenant, une opportunité à saisir

La conjoncture n’est certes pas favorable pour les vendeurs et une catégorie d’acquéreurs (ceux dont la situation ou les revenus ont été touchés par la crise sanitaire), mais ceux qui demeurent solvables ont tout intérêt à concrétiser leur projet. Si les taux immobiliers avaient connu un rebond au premier semestre 2020, ils ne cessent de reculer depuis pour retrouver leurs niveaux planchers de fin 2019. La forte concurrence entre établissements prêteurs compte tenu de la baisse de l’activité place les bons profils en position de force pour obtenir à la fois un prêt immobilier dans des conditions avantageuses – sous les 1% sur 20 ans –, et pour négocier les prix à la baisse dans les grandes métropoles.

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