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Case n°7 : sport extrême ? Pensez à l'assurance emprunteur !

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Case n°7 : sport extrême ? Pensez à l'assurance emprunteur !

Que diriez-vous d'envisager un sport extrême pour l'année à venir ? C'est une résolution aussi palpitante qu'inattendue. Imaginez-vous ouvrir la prochaine case surprise du calendrier de l'Avent pour découvrir les secrets bien gardés des lutins du Père Noël. Ces experts en équilibre entre leur passion pour les courses de traineau et la préservation de leur stabilité monétaire dévoilent leurs astuces. Trouvez l'harmonie entre l'audace et la prudence financière.

Assurance de prêt et sports risqués : un duo épineux pour l'immobilier

Au moment où les emprunteurs se lancent dans l'aventure d'un prêt immobilier, une dimension souvent négligée refait surface : certains sports peuvent transformer l'assurance de prêt en un casse-tête.

Ce contrat est conçu pour sécuriser à la fois l'emprunteur et la banque en cas de difficultés de remboursement des mensualités, notamment dans des circonstances aussi délicates que le décès ou l'invalidité. Cependant, voilà le hic : pratiquer un sport extrême augmente le risque de défaut de paiement, mettant l'assureur en alerte.

Ces assureurs, pour évaluer le degré de dangerosité de chaque discipline sportive, épluchent le nombre d'accidents annuels, leur gravité et même le pourcentage de participants ayant terminé ces aventures sportives de manière… disons, inhabituelle !

Imaginez donc leur tableau de bord : « Eh bien, le lancer de cadeaux surprise totalise 25 accidents, dont 15% se terminent en atterrissage dans la cheminée. Risque modéré, semble-t-il.
Mais le patinage sur glace avec les rennes du Père Noël affiche un total de 50 accidents, dont 30% se traduisent par des bobos plutôt sérieux. Risque élevé, indubitablement ! »

Et c'est ainsi que la magie de Noël se mêle aux calculs statistiques pour déterminer la prime d'assurance. Qui aurait pensé que les sports pouvaient avoir un tel impact sur notre chemin vers la maison de nos rêves ? 

Quand vos passions deviennent risquées

Pratiquer le football ou la natation ne pose guère de tracas dans le monde des assurances. Cependant, dès qu’on passe au mode "sport extrême", c'est là que la balade devient rocailleuse. Oui, car pour les casse-cous, informer la compagnie d'assurance de ses exploits est aussi essentiel que d'avoir le bon équipement pour sauter les obstacles.

Imaginez-vous en train de finaliser votre dossier pour votre prêt immobilier et bam ! Vous êtes face à un questionnaire médical. Oui, celui qui veut tout savoir sur vos habitudes sportives risquées. Vous oubliez de mentionner que vous êtes un adepte du saut à l'élastique sans élastique ? Mauvaise idée ! Car quand viendra le moment où vous aurez besoin d'un coup de pouce de votre assureur, il pourrait bien vous envoyer dans les filets de l'exclusion.

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A noter 

Vous rêvez de faire un baptême de parachute, mais craignez que cela ait une influence sur votre assurance emprunteur ? Rassurez-vous, les activités sportives occasionnelles n’ont pas à être déclarées. Seule une pratique sportive régulière est un motif d’exclusion.

Impact des sports risqués sur l’assurance emprunteur : les points essentiels

Dans le monde parfois mystérieux des assurances emprunteur, les règles sont claires ! Les contrats prévoient de base une couverture pour la majorité des activités sportives. Cependant, certains sports sont formellement exclus et d'autres, appelés "rachetables", nécessitent un petit supplément financier pour être couverts. C’est comme ajouter une option premium à votre assurance emprunteur pour faire du sport à haut risque !

Attention, car là où les choses se compliquent, c'est dans les différences entre les contrats des grandes banques et ceux des assureurs traditionnels ou mutualistes. Les premiers ont une sorte de politique "tous ensembles, tous couverts", limitant les exclusions pour les sports risqués. Mais du côté des contrats alternatifs, c'est le grand écart : certains sports sont éjectés de la prise en charge. Heureusement, moyennant finance, il est possible de négocier pour être couvert, que ce soit dès l'adhésion ou en cours de vie de votre assurance. 

Attendez-vous donc à des exclusions, des primes supplémentaires en forme de cadeaux inattendus et même des surprises comme des délais d'attente ou des réductions de couverture. Et n'essayez pas de faire passer vos activités sportives sous le sapin : dissimuler une passion risquée pourrait transformer votre contrat en un paquet cadeau résilié. Alors, pas de secrets entre vous et votre assureur pour éviter les fêtes de fin d'année gâchées !

La lutine directrice des études Cécile Roquelaure a un dernier mot pour vous :

Bien sûr les pratiques à risque vont avoir un impact sur votre cotisation d’assurance ou sur les garanties que vous accordera l’assureur. Mais, en cas de sinistre, l’absence de déclaration, si la pratique est avérée, pourrait s’avérer bien plus coûteuse. En effet, l’assureur pourrait remettre en cause votre contrat en refusant de vous indemniser, voire le résilier en conservant le bénéfice des cotisations… Même si le sinistre n’a rien à voir avec la pratique !

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