Selon les Échos, le budget de la Sécurité sociale pour 2026 prévoit plusieurs milliards d’euros d’économies. Pour y parvenir, le gouvernement miserait sur un encadrement plus strict des arrêts maladie et un gel partiel de l’indexation des retraites.
Des économies sur la santé et les retraites ?
Toujours selon les Échos, le gouvernement prévoit de ramener le déficit de la Sécurité sociale à 17,5 milliards d’euros en 2026, contre 23 milliards cette année. Pour y parvenir, le budget table sur plus de 7 milliards d’euros d’économies dans la santé, notamment en limitant la hausse des dépenses médicales à 1,6 % (contre 3,6 % en 2025).
Le journal évoque comme principales mesures :
- la hausse des franchises médicales, qui pourraient doubler ;
- l’extension des participations forfaitaires à de nouvelles prestations (dentistes, dispositifs médicaux, etc.) ;
- l’encadrement renforcé des arrêts maladie, avec une limitation des durées de prescription (15 jours en ville, 30 jours à l’hôpital) et une révision des arrêts pour affections non chroniques.
L’assurance emprunteur, une sécurité plus que jamais indispensable pour les emprunteurs
L’évocation d’éventuels changements en matière de prise en charge par la Sécurité sociale peut être une source d’inquiétudes pour de nombreux ménages, en particulier pour ceux engagés dans le remboursement d’un crédit immobilier. En effet, un arrêt de travail et une diminution de ses revenus peuvent parfois mettre en péril l’équilibre budgétaire d’un foyer.
C’est l’une des nombreuses raisons qui justifient le recours, en parallèle d’un emprunt, à une assurance de prêt. Selon les contrats, une assurance peut couvrir tout ou partie des mensualités lors d’un accident de la vie lié à la santé, notamment à travers la garantie ITT (incapacité temporaire de travail).
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